bpv_305568 - ELAGABALUS Tétradrachme syro-phénicien
недоступный.
Товар уже продан в нашем интернет-магазине (2014)
Цена: : 35.00 €
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Тип Tétradrachme syro-phénicien
Дата: 218-220
Монетный двор / Город: Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Металл: billon
Диаметр: 26,00 mm
Ориентация осей монеты: 6 h.
Вес: 11,89 g.
Комментарии о состоянии
Usure de circulation, patine sombre
Ссылки в каталоге: :
Происхождение:
Cet exemplaire est le 0254_020 de la base TSP
Лицевая сторона
Аверс: описание: Elagabal tête laurée à droite, les rubans de la couronne de lauriers flottant derrière la tête, un reste de draperie devant et derrière le buste.
Аверс: легенда: AUT K M A ... ANTwNEINOS SEB
Аверс: перевод: Empereur César Marc Aurèle Antonin Auguste.
Обратная сторона
Реверс: Описание: Aigle au style de Carrhae debout à gauche sur une ligne de terre, les ailes déployées, la tête et queue à droite, tenant une couronne feuillée de laurier dans son bec, une étoile à huit branches entre les pattes.
Реверс: легенда: DHMARC EX UPATOSTOB / .D. - .E.
Реверс: перевод: (Puissance tribunitienne, consul pour la deuxième fois).
Комментарий
Bien que classé par commodité à Antioche, ce type a été attribué au graveur de Carrhae en Mésopotamie, par identité de style du revers avec les frappes de cet atelier sous Caracalla et Macrin.
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, quatre-vingt treize exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées Paris (2), Berlin (3), Fitzwilliam Museum Cambridge, ANS, Blackburn Museum, Glasgow (3), Yale (4 ex Doura) et Jérusalem (3).
Les émissions d’Elagabal se classent par référence à leur graveur de revers, quand celui-ci peut être rapproché d’une émission précédente identifiée pour une ville, par le style plus généralement quand ce n’est pas le cas. On trouve une trentaine de graveurs de revers et moins d’une dizaine de graveurs de droit.
La question de savoir si les ateliers de Caracalla, encore en production sous Macrin, furent conservés ou si tous les graveurs furent regroupés à Antioche n’est pas tranchée, faute d’une analyse des liaisons de coins. On pense néanmoins que ce fut le cas, ne serait-ce que par la présence systématique du Delta Eta dans le champ du revers.
Tous les tétradrachmes officiels d’Elagabal portent la date du deuxième consulat, le hiatus entre Caracalla et le nouvel empereur étant considéré comme le premier consulat de celui-ci. À en juger par certaines émissions, les frappes se terminent certainement, dans une dégénerescence complète de l’aloi et du style, vers 220, en tous cas avant le troisième consulat.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, quatre-vingt treize exemplaires sont maintenant répertoriés dont en musées Paris (2), Berlin (3), Fitzwilliam Museum Cambridge, ANS, Blackburn Museum, Glasgow (3), Yale (4 ex Doura) et Jérusalem (3).